Fauter, ça peut rapporter énormément !

Publié le 23 août 2022 à 12:58
L'inconduite

Rien n’est pire en lisant un livre que d’y repérer des fôtes d'orthographe et/ou pire, de syntaxe et autres anacoluthes (non c’est pas un vilain mot…), sauf s’il s'agit d’une impasse syntaxique volontaire pour casser la monotonie d’une construction. Perso, j’aime bien… ;O))

Mais le saviez-vous ? “fauter” peut rapporter énormément dans le monde littéraire et surtout aux lecteurs.
Les exemples (célèbres parfois) ne manquent pas. Ce genre d’ouvrage, surtout chez les écrivains célèbres, est particulièrement recherché. Il y en a eu en tous genres et à toutes les époques.

Un peu comme les premières séries, dont le défaut en fait quelque chose d’unique et donc de précieux.
La chose vient de se produire dernièrement chez un éditeur français bien connu, (Albin Michel pour ne pas le citer).

“L'inconduite”, quatrième roman d'Emma Becker et dont le premier tirage, annoncé à 40.000 exemplaires, comporte (horreur et damnation !) une faute d’impression dans la jaquette. Du coup, le voilà rhabillé pour l’hiver, surtout par la presse spécialisée.

Au cas où Emma Becker passerait à la postérité, n’hésitez pas à chercher et acquérir la fameuse jaquette si vous en trouvez encore, parce que l’ouvrage risque de s’arracher.
Dans mon livre MORTELLE MACHINATION, on en trouve également des coquilles qui ne sont pas forcément des perles, malgré maint(s)es relecteurs et relectures ;O))

Elles vont disparaître au fur et à mesure des rééditions. Alors dépêchez-vous, on ne sait jamais… Lol !

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Commentaires

Marie-elisabeth Moulet
il y a un an

J’ai dévoré ce livre. Bravo!